La table à main universelle a été conçue par ceux qui l’utilisent : des professionnels, tous directement concernés par le parcours et l’installation du patient.

Chirurgiens, anesthésistes, pharmaciens, hygiénistes, ergonomistes, ingénieurs biomédicaux, équipes de direction, infirmières, aides-soignants, brancardiers. Chacun a éclairé la conception de la table à main universelle de son point de vue. Cinq prototypes et des tests dans une dizaines de blocs différents a aboutit au résultat actuel.

De conception déjà innovante, la table à main universelle est d’or et déja conçue pour anticiper l’évolution de la pratique vers le Fast Track (circuit ambulatoire extra-court), le « Walant » (chirurgie sous anesthésie locale sans garrot), et même l’office surgery (opérer en cabinet).

Le patient se trouve déjà sur son brancard dès sa prise en charge aux ambulatoires. Il est logique de l’y laisser pour l’opérer dessus. Une fois l’intervention terminée, il roule au service ambulatoire : personne ne l’a porté à aucun moment.

Confort du brancard et pudeur : Incomparable est le confort d’un brancard de transport, dont le cahier des charges prévoit explicitement la position allongée consciente et prolongée.

Le patient n’a pas besoin de découvrir autre chose que l’extrémité opérée. Il supporte alors mieux les températures des blocs opératoires tout en préservant son intimité.

Que le patient reste sur le même support roulant, fait gagner en ergonomie du personnel et permet la plus simple gestion possible du flux du programme opératoire par l’équipe de bloc elle-même. Étant la mieux informée, c’est cette équipe qui gère le rythme.

Elle n’a ainsi plus à attendre l’équipe de brancardiers occupée ailleurs. Pousser simplement le brancard ne demande pas beaucoup de force. Cet effort est demandé à cette équipe sur le temps qu’elle gagne largement par la rapidité d’installation. Les brancardiers sont libérés de cette salle.